C’est le titre d’un article du Courrier International (du 18/11/2010) décrivant surtout les expériences anglo-saxonnes dans le domaine du jeu sérieux. Avec des conclusions enthousiasmantes si j’étais éditeur de jeu vidéo.
Et c’est bien dommage parce que le arguments avancés sont bien ceux des jeux de simulation, vidéo ou pas, sérieux ou pas. Mais bon…