Jamais autant de ratures qu’après deux mois de vacances, quand les mains n’ont pas été échauffées, le temps que les connexions pour écrire se remettent en route. Les ratures pleuvent, énervent, agacent. Raturer, c’est comme rater, échouer, c’est se tromper et comme l’erreur, la rature est souvent, à tort, mal…