Wouah !

Non, ce n’est pas le nom du nouveau jeu-vidéo-en-ligne-pour-faire-perdre-un-maximum-de-temps-et-d’argent-dans-un-univers-massivement-multijoueurs, mais la réaction que j’ai eue en lisant le dossier de veille de l’INRP « Quelles relations entre le jeu et apprentissages à l’école ? Une question renouvelée » de Marie Musset et Rémi Thibert.

Un beau travail de synthèse, prudent et pas dogmatique, bourré de références (j’avais pourtant prévu autre chose à lire pendant les vacances), actualisé, avec un pied dans les références théoriques et un autre dans les expériences du terrain, portant à la fois sur les jeux classiques (vous savez, avant l’ordinateur) et sur les jeux vidéos.

Bref, la synthèse que nous aurions aimée écrire si nous avions eu un peu plus de courage, de motivation, de temps.

Comme ce dossier est écrit en outre dans une langue qui le rend parfaitement clair, je me garderai bien de le résumer (l’excuse à deux balles !), mais je me permets de reprendre une de mes phrases préférées : « C’est donc bien le contexte d’apprentissage, l’appropriation du jeu par l’enseignant et son exploitation avec les élèves qui rend cet outil intéressant, et non le jeu par lui-même. » Comme dirait un des héros du chef d’oeuvre télévisuel qu’a été « Joëlle Mazard, assistante sociale » : « mais c’est qu’est-ce que je dis !« .

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