IBM CIO Report: Key Findings
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Au quotidien, les opportunités de travailler de façon collaborative avec des collègues (enseignants ou formateurs) et des élèves ou étudiants sont de plus en plus d’actualité. On a envie d’échanger des idées, des documents concernant la pratique au quotidien. On a envie de bâtir ensemble un projet de formation, d’animation de stage…

Se pose alors la question des outils à utiliser pour mener à bien cette activité, pour communiquer et travailler. Un document de traitement de texte qui passe de mains en mains par le courriel risque d’avoir une drôle d’allure au moment de sa publication après être passé sur de multiples ordinateurs et avoir été « trituré » par de multiples versions du logiciel !

Beaucoup de personnes se tournent vers des outils collaboratifs en ligne, vers le nuage ou cloud, par exemple les outils présents sur Google+.

Effectivement, en utilisant ce type d’outil, on a « tout sous la main ». De quoi produire des documents (traitement de texte, tableur, présentation assistée par ordinateur), saisir le texte avec un outil de reconnaissance vocale, communiquer par courriel, chat clavier, chat vidéo…

Et puis, chose assez étonnante, ce sont les partages que ces outils permettent. Par exemple, un document de traitement de texte peut être écrit à plusieurs, en synchrone et en asynchrone. Une équipe prépare un projet, co-écrit ses grandes lignes, se concerte et finalise le document. C’est un peu bluffant de voir un texte s’écrire en direct par une personne résidant à Vancouver, une autre à Wellington, la troisième à Besançon qui sirote un petit expresso !

Au niveau de l’utilisation à partir d’un ordinateur, tout est accessible par une adresse internet, un identifiant et un mot de passe ! Dès que la connexion est faite, tous les outils sont à disposition.

L’équipe se crée une communauté qui lui permet de travailler en cercle fermé pour préserver la confidentialité de ses travaux.

Pour initier des personnes en formation à l’utilisation de ces outils, j’ai rédigé un document intitulé :

consignes_google_plus_version_janvier_2015Cliquer sur l’image pour télécharger le document

Vous pouvez aussi, si cela vous intéresse, le télécharger à cette adresse : www.jacques-cartier.fr/google_plus/consignes_google_plus_version_janvier_2015.pdf.

Remarque : des identifiants et mots de passe sont fournis aux personnes présentes pour réaliser ce travail dirigé. Lors d’un stage, ne pas se lancer dans la création de comptes, cela va être long. De plus, les demandes de compte venant de la même salle, le serveur Google+ va rejeter la demande une fois deux ou trois comptes créés.

J’ai réalisé cette activité avec 5 à 6 groupes d’une quinzaine de personnes chacun et ai remarqué qu’elle met un peu en difficulté les stagiaires dont le degré d’habilité de manipulation de l’ordinateur est un peu juste. Ils sont décontenancés par les multiples fenêtres qui s’ouvrent dans le navigateur et en perdent leur latin. Parfois ils finissent par fermer tous les onglets ouverts pour repartir d’un bon pied. C’est un bon réflexe.

Le fait que les documents s’enregistrent automatiquement surprend tout le monde, y compris moi lors de ma première utilisation. On cherche désespérément le menu « Enregistrer » ou « Enregistrer sous » !

Mais sortons des soucis de manipulation qui passent avec l’usage pour mettre en avant les qualités de ce genre d’outils qui accroissent nettement les possibilités d’un travail collaboratif de qualité. C’est le but recherché !

La vidéo rend la communication très aisée. On peut entrer directement en discussion vidéo avec une ou plusieurs personnes simplement en cliquant sur une icône. La caméra et le micro intégrés autorisent le mains libres.

On peut organiser des « classes virtuelles » appelées « Hangouts » de façon très intuitive. Pas besoin de faire des kilomètres pour se rencontrer.

La tentation est grande de se lancer dans ce type d’activité au quotidien surtout quand les outils fournis par votre organisme de référence (institution, entreprise, organisme de formation, etc.) datent un peu ou sont à des années lumière de vous fournir cette qualité de production et de communication…

Mais, soyez prudents, la charte informatique de votre employeur ne vous autorise peut-être pas à travailler avec des outils hors contexte professionnel, surtout que vous êtes dans « les nuages » (le nuage ou cloud) et que les données que vous manipulez pourraient être volatiles !

Mais peut-être que votre « boîte » travaille sur le cloud et vous fournit un compte sur ce site :

Vous pouvez lire à ce sujet un document de la CNIL à cette adresse :

www.cnil.fr/documentation/fiches-pratiques/fiche/article/cloud-computing-les-7-etapes-cles-pour-garantir-la-confidentialite-des-donnees/

Une chronique de Jacques Cartier

www.jacques-cartier.frespace-formation.eu

3 réponses

    1. Oui, je suis aussi un adepte du logiciel libre.

      Mais dans ce cas de figure, il n’y a pas, à ma connaissance, d’application du libre qui autorise ce type de travail avec autant de technicité.

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